Cet article constitue le prolongement de notre toute première publication signée Aeon, il y a plus de deux ans (déjà !), intitulée « Le droit à l’oubli, de Monsieur Gonzales au GDPR », et dont le contenu doit aujourd’hui être complété des enseignements de la toute chaude décision C-136/17 de la Cour de justice de l’Union Européenne.[…]